Hypnothérapie et thérapies brèves à Puteaux-La Défense et Nice
Compulsions alimentaires – Addictions : alcool – Achat compulsifs…
Comme bien des termes en médecine ou en psychologie il est important de définir le trouble dont on parle.Le terme compulsion est actuellement très utilisé et finalement on retrouve à l’intérieur de ce dernier aussi bien des troubles du comportement que des dépendances physiques, affectives ou psychologiques. Si l’on reprend la définition du mot compulsion, ce dernier tire sa racine du mot latin « compulsio » qui signifie « contrainte »
Il est important de « classifier » cette contrainte par grande famille :
Et aussi de « graduer » l’intensité ou la fréquence de ce trouble du comportement.
Comme pour les phobies chaque compulsion est « unique ». Elle doit être lue comme une recette, un mode d’emploi, une analogie. Par exemple si l’on vérifie tout ce qui peut mettre le feu (gaz, électricité, chauffage, etc), le thème nous montre la peur d’un accident lié au feu. Il s’agira donc, de nouveau de vérifier si cette peur (comportement) est: Une analogie est une association, un rapport de ressemblance, que l’on fait consciemment ou inconsciemment entre deux ou plusieurs choses, deux ou plusieurs phénomènes.
J’ai pour ma part constaté un phénomène peu pris en compte dans les diagnostics classiques de personnes souffrant de TOC. Alors que je cherchais principalement des raisons « classiques » (évènement traumatisants, éducation…) je me suis rapidement rendue compte que ces personnes étaient « sensitives » . C’est à dire capable de « capter » l’autre : ses états émotionnels intérieurs et ses pensées, un environnement… Certes ces personnes avaient toutes un passé expliquant leur trouble. Mais leur sensitivité avait exacerbée l’impact d’une situation vécue ou d’une éducation reçue… La non prise en compte de cet aspect peut expliquer l’échec d’une prise en charge « classique ».
Une fois la compulsion « classifiée », son intensité mesurée et son signal identifié, il sera alors possible de la traiter.
Selon la compulsion, son intensité et sa durée d’exposition, il sera parfois nécessaire de vider une surcharge émotionnelle et de prendre des forces avant de commencer le travail thérapeutique. Cela se fait par un temps de parole qui permet de se soulager, puis par la pratique de séances d’hypnose couplée à du Qi Gong thérapeutique pour vider cette surcharge et se ressourcer.
Il s’agira ensuite de repérer et comprendre ce qui se passe grâce à la thérapie brève et à la PNL principalement et quelques autres approches que j’utilise comme la loi de l’analogie par exemple.
Une fois la mécanique identifiée et comprise, nous traitons l’origine comme n’importe quel autre trouble.
Trouver une autre façon de faire, y croire, trouver la force de le faire et la mettre en place, sont les clefs du changement.
L’apprentissage de l’auto-hypnose facilitera la mise en situation réelle en permettant de repérer ce qui se passe et trouver les ressources nécessaires pour s’adapter à la situation, à l’environnement, à une personne… parfois se protéger.
Pour le critère de la sensitivité le travail consistera à comprendre comment cela fonctionne et à apprendre à utiliser et à canaliser cette capacité innée. Selon chaque situation et à chaque personne, vous apprendrez des outils « pratiques » comme la bulle psychique par exemple.