Ghislaine Mangel
Ghislaine Mangel

Hypnothérapie et thérapies brèves à Puteaux-La Défense et Nice

La thérapie brève

Si la thérapie analytique a pour but la compréhension des « causes profondes » des problèmes, la thérapie brève s’inscrit plus dans une logique de « comment faire pour aller mieux » que savoir « pourquoi on va mal ».

Les bénéfices de la thérapie brève

Un premier changement peut induire une confiance

Un premier changement peut induire une confiance et amener plus de facilité pour conduire au résultat final. En thérapie brève on considère le problème comme une chaîne faite de petits et de gros maillons. Pour faire lâcher la chaîne il s’agit de casser un premier maillon… Plus facile quand celui-ci est « petit ».  Autrement dit, commencer par un petit changement même s’il n’est pas en lien avec l’objectif final, permet de mettre en marche le changement…

Un nombre de séances limitées dans le temps

Par « thérapie brève », on fait référence à un nombre de séances limitées dans le temps. La priorité est donnée au changement plutôt qu’à l’analyse. Si l’approche se veut la plus brève possible (en général une dizaine de séances), la thérapie se doit d’être, pour le confort du patient, aussi longue que nécessaire… Ceci afin de rendre le changement durable.

Thérapie brève : pour qui?

Pour des patients ayant déjà suivi une ou plusieurs thérapies.
Bien que ces dernières leur aient permis de changer – ne serait-ce que par la compréhension de certaines situations ou de certains mécanismes – le résultat n’est pas encore là complètement. Dans ces cas repartir de nouveau sur l’analyse peut être décourageant et passer à la pratique est plus pertinent!

Pour les patients pour qui les approches classiques sont trop longues.
Ils ne peuvent imaginer attendre 2 ans ou plus (le temps d’explorer le passé) pour changer et guérir.

Pour les patients « prêt à changer » et / ou de tempérament plus « frontal », les approches brèves sont recommandées.

Pour d’autres, en fonction de leur tempérament et ou de la problématique à traiter, il faudra parfois plusieurs thérapies et thérapeutes pour arriver à se transformer.

La thérapie brève dans mon approche

J’utilise la thérapie brève pour définir l’objectif (axe à atteindre) ainsi que les freins au changement.

Alors que la thérapie brève s’axe principalement sur la solution, j’explore un peu le passé afin de connaître les grandes lignes de l’enfance et détecter ainsi d’où viennent les freins ou les difficultés à changer : modèles familiaux ou sociaux-culturels, loyauté aux parents, peur inconsciente de changer et de ne plus être « reconnu »; capacité d’autonomie non acquises…etc.

Les premières séances visent donc à définir comment le ou les problèmes se posent concrètement.
Il s’agit ensuite – quand il y a différentes difficultés – de déterminer le ou les problèmes prioritaires et de choisir judicieusement ce qu’il est le plus important de changer mais aussi le plus facile à solutionner. Parfois des étapes sont nécessaires.

Les thérapies brèves : qu’est-ce que c’est ?

La thérapie brève est née aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale. On retrouve les thérapies brèves dans quatre grandes démarches : l‘hypnose Ericksonienne, la thérapie stratégique et familiale, la PNL (Programmation Neurolinguistique) et l’EMDR (Eye movement desensitization and reprocessing)

 La thérapie brève a pour objectif premier le changement, et s’inscrit dans la même optique que la thérapie Ericksonienne. Il s’agit donc d’une pratique où le thérapeute a pour objectif de développer toutes les stratégies possibles pour obtenir un changement.