Hypnothérapie et thérapies brèves à Puteaux-La Défense et Nice
Le blues hivernal et la dépression hivernale sont liées au manque de lumière naturelle qui survient en général l’hiver mais parfois aussi dès l’automne et lors de certains étés très pluvieux.
Degré de luminosité : quelques repères :
Le simple coup de blues sera à distinguer d’une forme de déprime plus sévère. La crise sera appelée dépression hivernale dès lors qu’elle générera une incapacité à effectuer les tâches quotidiennes, surgira dans une période où la luminosité naturelle est en baisse et se répétera plus de deux années consécutives. On notera souvent une hypersomnie (trop dormir) et une boulimie ou anorexie (trop ou pas assez manger).
« Les rythmes biologiques jouent un rôle majeur dans le fonctionnement des organismes vivants : pulsations cardiaques, mouvements de paupières ou respiratoires, rythmes repas/digestion, états alternés de veille et sommeil, cycles de l’ovulation… » *
Sans rentrer dans un cours de biologie (pourtant passionnant),, on peut dire que les être vivants sont des ensembles structurés de cellules, elles mêmes structurées en systèmes… le bon fonctionnement de ces systèmes nous permet de vivre en plus ou moins bonne santé…
Une donnée importante pour que ces système fonctionnent correctement est le respect de nos rythmes biologiques. On parle ici d’horloge biologique qui nous permet, comme une horloge parfaitement réglée, de réguler notre organisme. La lumière joue un rôle fondamental dans ce cadencement, en indiquant par exemple les rythmes diurne et nocturne à notre corps qui se met en état d’éveil ou de repos; ceci grâce à la production d’hormones comme la sérotonine (appelée hormone du bonheur qui nous met en état actif) ou la mélatonine (hormone du sommeil).
La dépression hivernale nous signale qu’en l’absence de lumière, nos rythmes biologiques sont affectés.
Si l’on remonte à l’aube de la création et que l’on suit l’évolution humaine et celle de la nature, on peut constater que les premiers hommes ainsi que bon nombre d’espèces migraient en fonction des conditions naturelles. Ces conditions naturelles étaient favorisée ou pas par la présence ou le manque de lumière. C’est toujours le cas d’un certain nombre d’espèces.
Un deuxième constat que l’on peut faire en observant la nature est que cette dernière suive elle-même, un cycle saisonnier.
en hiver,la nature se met en repos : elle hiberne. En tout cas pour toutes les espèces qui ne peuvent pas migrer.
Si l’on regarde à présent nos modes de vie sédentaire, on pourrait donc trouver logique que l’humain ait besoin « d’hiberner » dans ces moments où la lumière vient à manquer… Impossible dans nos sociétés actuelles où les rythmes de vie restent identiques été comme hiver…
Cela peut nous conduire à nous interroger sur …
En hiver, le premier conseil serait donc « d’accepter » de ralentir un peu... Difficile mais tout de même.
Un première démarche est donc de trouver ce qui nous en empêche (croyance, éducation, loyauté…).
La thérapie brève est un excellent support pour explorer cette question.
Un deuxième point est de regarder ce qui peut déréguler nos rythmes biologiques : choc émotionnel, surcharge de travail, anxiété… et de resynchroniser ces derniers grâce à l’hypnose et à l’auto-hypnose.
Enfin, notre cerveau semble ne pas faire la différence entre quelque chose de fictif (imagination) et quelque chose de réel.
En comprenant d’abord un peu plus ce qu’est la lumière puis en apprenant quelque base de méditation et d’auto-hypnose, il nous est possible d’apporter à notre cerveau cet ingrédient vital pour la régulation des rythmes biologiques et bien plus encore… Ceci sans abuser si votre corps vous demande tout simplement du repos.
* Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rythme_biologique