Ghislaine Mangel
Ghislaine Mangel

Hypnothérapie et thérapies brèves à Puteaux-La Défense et Nice

Une approche thérapeutique individualisée, adaptée à chaque patient

Exemples de cas patient

Fixer le bon objectif

Mademoiselle K a 30 ans passés  consulte pour une phobie des transports en commun. Très vite au bout de quelques séances, je me rends compte que cette jeune femme -surprotégée de par un passé familial douloureux – n’a jamais à 30 ans quitté le nid familial : elle vit avec ses parents, n’a jamais connu d’amoureux etc… Passionnée par un pays étranger où elle a décidé de partir un an, une phobie légère qui se manifestait à chaque fois qu’elle s’éloignait de la maison parentale se transforme en véritable attaques de panique.
Le travail thérapeutique a consisté ici à permettre à Mademoiselle K de quitter le nid familial et de réussir à prendre son envol.

Nombre de séances : 8
Durée du suivi 7 mois : 5 séances sur 2 mois et demi puis 2 séances espacées d’un mois et une dernière séance espacée de deux mois. Pas de séance avant le départ survenu 5 mois après la dernière séance.

Jauger si on est prêt à changer et jusqu’à où ?

Madame R a trente est mariée et à deux enfants. Elle me consulte car elle se craque les doigts et commence à avoir des séquelles physiques.
Madame R est une « créative », elle est ingénieur en informatique. Les mains représente l’action et je demande à Madame R qu’est-ce qu’elle ne peut pas faire et qu’est-ce qui l’a fait craquer ? Dès la première séance je repère que Madame R n’aime pas son travail, choix orienté et imposé par son père afin qu’elle ait une bonne situation professionnelle et financière. Adolescente face à un père très autoritaire, elle se « rebelle » comme elle peut en imitant de jeunes « caïds », des voyous qui se craquent les doigts… Depuis, face à une situation où elle est contrainte, elle se craque les doigts. Je demande à Madame R de repérer toutes situations dans son travail qui déclenchent le craquement de doigts. Nous entamons alors un travail de négociation avec son inconscient afin de lui faire comprendre que Madame R a compris son message mais que pour le moment elle n’a pas le choix. Elle s’engage à faire des choses «créatives» en dehors de son travail afin de nourrir son être profond, sa nature et de choisir les projets les plus créatifs parmi les projets qui lui sont proposés professionnellement. Madame R arrête dès la fin de la deuxième séance de se craquer les doigts. Un travail de pardon au père aurait été nécessaire pour terminer complètement la thérapie. Madame R préfère en rester là et se promet de faire ce travail dès qu’elle en aura la force…

Nombre de séances : 3
Durée du suivi : 1mois

Apprentissage de méthodes

 

 

Se développer, aller plus loin encore, évoluer…